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LE GET S\u2019IMPOSE \u00c0 L\u2019USURE FACE \u00c0 RUEIL (Vosges Matin)<\/p>\n
Gr\u00e2ce \u00e0 une d\u00e9fense de fer qui devient sa marque de fabrique, le GET Vosges s\u2019est offert un troisi\u00e8me succ\u00e8s de rang et a confirm\u00e9 son nouveau statut : celui d\u2019un des costauds de la Nationale 1.<\/p>\n
Une plaie profonde au-dessus de la l\u00e8vre pour Guillaume Payen-Boucard et une balafre sous la m\u00e2choire pour Mass\u00e9 Doumb\u00e9. Si Laurent Mathis avait encore besoin d\u2019une confirmation quant \u00e0 la capacit\u00e9 de ses hommes \u00e0 se muer en guerriers, il a \u00e9t\u00e9 servi. \u00ab Ils sont all\u00e9s au combat, savourait le coach vosgien. Car en face il y avait du r\u00e9pondant\u2026 Je suis s\u00fbr que Rueil posera d\u2019ailleurs pas mal de probl\u00e8mes \u00e0 d\u2019autres que nous. C\u2019est aussi pour cela qu\u2019il faut savourer cette victoire. \u00bb<\/p>\n
La troisi\u00e8me d\u2019affil\u00e9e pour Ibra Sidib\u00e9 et les siens qui ont donc su faire don de leur corps pour signer un nouveau succ\u00e8s devant leur public, tout heureux de s\u2019offrir son d\u00e9sormais traditionnel \u2018\u2019clapping\u2019\u2019, tandis que les visiteurs rejoignaient les vestiaires t\u00eate basse. C\u00f4t\u00e9 francilien, les traces du combat perdu sautaient moins aux yeux. Mais elles \u00e9taient bel et bien physiques. Car s\u2019ils ont longtemps tenu le choc, Felder et ses partenaires ont fini par plier. Assomm\u00e9s par la puissance du GET. Lamin\u00e9s par l\u2019agressivit\u00e9 de Vosgiens port\u00e9s par l\u2019insouciance de leur jeunesse.<\/p>\n
Toujours plus agressifs\u00ab Cette jeunesse nous pose parfois probl\u00e8me car certains ne font pas toujours les bons choix \u00e0 des moments strat\u00e9giques, soulignait Laurent Mathis. Mais l\u2019important c\u2019est de savoir les corriger au fil du match pour faire la diff\u00e9rence en fin de match. \u00bb Au coude \u00e0 coude avec les Franciliens qui affichaient une moyenne de 92\u2002points avant leur venue au Palais, les G\u00e9tistes \u00e9taient en effet loin du quota de 16 points par quart-temps impos\u00e9s avant le coup par leur coach. Quatorze unit\u00e9s de trop exactement, au moment o\u00f9 ils se lan\u00e7aient dans un ultime round sentant la poudre (62-66). \u00ab C\u2019est l\u00e0 que l\u2019on a fait la diff\u00e9rence, se souvenait un Lo\u00efc Gigant encore une fois exemplaire d\u2019abn\u00e9gation. En haussant encore notre niveau d\u2019agressivit\u00e9. \u00bb<\/p>\n
Cette fois c\u2019en \u00e9tait trop pour les banlieusards parisiens. Ils restaient scotch\u00e9s \u00e0 66 points pendant de longues minutes, tandis que Ocokoljic et Payen-Boucard tournaient \u00e0 plein r\u00e9gime et que Ricard faisait mouche \u00e0 longue distance. Quand Anderson rallumait la lumi\u00e8re, Rueil \u00e9tait dans les cordes (73-66, 36e). Comme d\u2019autres le seront aussi face \u00e0 un GET qui \u00ab poss\u00e8de encore une marge \u00bb assure son coach. \u00c7a promet !<\/p>\n
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Les Vosgiens ont eu \u00e0 faire, hier soir, \u00e0 une \u00e9quipe de Rueil difficile \u00e0 manier. D’ailleurs, si le GET menait d’un petit point \u00e0 la pause (41-40), c’est bien le RAC qui avait repris les devants \u00e0 dix minutes du terme\u00a0(62-66). Il a alors fallu un dernier quart-temps impeccable (20-9) des joueurs de Laurent Mathis pour l’emporter. Six joueurs ont d\u00e9pass\u00e9 les dix d’\u00e9valuation c\u00f4t\u00e9 Vosgien. Un succ\u00e8s pr\u00e9cieux, donc, avant le choc \u00e0 Vitr\u00e9. Petit coup d’arr\u00eat en revanche pour Rueil qui restait sur trois victoires de rang.<\/p>\n
@BEBASKET<\/p>\n
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